Malartic-Lagravière (château), AOC Léognan (Graves, Bordeaux), Cru Classé Graves en rouge et en blanc* : situé sur le plus ancien terroir viticole bordelais, sur une série d’îlots graveleux composé de calcaire coquillé et de veines d’argile, le domaine de Lagravière couvre 46 ha en rouge (45% merlot, 45% cabernet-sauvignon, 8% cabernet-franc, 2% petit verdot) pour une production annuelle de 200 OOO bouteilles et, sur une surface en production de 7 ha (80% sauvignon, 20% sémillon) , 30 OOO bouteilles en blanc. A noter, un rosé, le Rosé de Malartic-Lagravière (Assemblage : 45% merlot, 45% cabernet-sauvignon, 8% cabernet-franc, 2% petit verdot).
Second vin (en blanc et en rouge) : Sillage de Malartic.
C’est en l’honneur d’Hippolyte, Comte de Malartic, amiral au service des Rois de France et propriétaire du domaine au XVIIIe siècle que le Château fut nommé en 1850, Malartic-Lagravière.
L’arrivée en 1996 d’un belge, Alfred-Alexandre Bonnie, grand amateur de vins, qui racheta le domaine à madame Ricard, a conduit à une large rénovation des chais, avec d’importants investissements technologiques.
Dans le cadre d’une permanente évolution, le Château Gazin Rocquencourt a rejoint en février 2006 les vignobles Malartic. L’acquisition de Gazin Rocquencourt, propriété de 28 hectares dont 22 de vignes située à
Léognan, permet ainsi à la famille Bonnie de disposer avec le Château Malartic-Lagravière, Grand Cru Classé de Graves, de plus de 70 hectares dans l’appellation bordelaise montante qu’est Pessac-Léognan.
Parallèlement, les vignobles Malartic se développent aussi en Argentine dans le cadre du très prometteur projet Clos de los Siete de la Valle de Uco au sud de Mendoza où 115 hectares ont été rachetés pour créer la Bodega DiamAndes.
*Oenologues Conseils : Michel Rolland et Athanase Fakorellis.