Lutte intégrée (viticulture) : si la lutte biologique se révèle insuffisante pour obtenir une bonne protection de la vigne, il est alors possible de compléter son efficacité par l’utilisation de traitements chimiques. La lutte intégrée consiste donc à mettre en oeuvre différents moyens et produits pour obtenir une protection satisfaisante. L’emploi de produits phytopharmaceutiques est évidemment limité au strict nécessaire. Pour y remédier, on trouve par exemple parmi les méthodes biologiques utilisées en lutte intégrée, la réintroduction des typhlodromes. Cette famille d’acariens est en effet, loin devant les coccinelles et les punaises, la plus redoutable prédatrice d’autres espèces d’acariens phytophages (dont l’araignée rouge et jaune) nuisibles à la vigne. La lutte intégrée essaie ainsi de rétablir un équilibre biologique. Elle intègre à bon escient tous les moyens dont elle dispose pour protéger la vigne contre ses différents et nombreux ennemis.
Crémant 2024 : les bulles de l’optimisme !
Le Crémant comme le Champagne, une valeur sûre ! Si la France comme le reste du monde a plongé dans les vins effervescents (raz-de-marée d’ex-buveurs